Anxiété du souper: voici comment l'intelligence artificielle m’aide à manger mieux et économiser

Tous les jours, vers 14h, je commence à avoir des palpitations à l’idée de mon retour à la maison. Devoir gérer le trafic, la garderie et le souper me donne plus d’anxiété que je ne le croyais.

Nourrir sa famille en 2025 peut devenir un véritable casse-tête et je dois dire que ça me créait un stress incroyable. J’ai donc décidé de changer ma routine, et je dois dire que depuis quelques semaines, je respire mieux.

 

Voici donc mes trucs pour gérer l’angoisse du souper et nourrir ma famille de trois pour moins de 125$ par semaine

Faire un menu simple et malléable

D’abord et avant tout, je crée un menu en quelques secondes grâce à l’intelligence artificielle. Mes demandes ressemblent à ceci:

«Je veux que tu agisses comme une nutritionniste et que tu me crées 3 soupers avec du poulet, 2 soupers avec du tofu, un souper avec des légumineuses et un souper avec du poisson afin de nourrir ma famille de deux adultes et un enfant du lundi au dimanche.

En semaine, je cherche des recettes qui sont rapides, pratiques et qui peuvent se préparer à l’avance. Le vendredi, samedi et dimanche, les repas peuvent être légèrement plus longs. Je souhaite avoir un menu simple, nourrissant, avec un maximum de légumes et qui minimise le gaspillage et les coûts.»

J’obtiens ensuite un menu qui me plaît ou non. J’ajuste mes besoins le nombre de fois qu’il le faut et, par la suite, je trouve des recettes qui ressemblent à ses propositions sur le site de coupdepouce.com, car je sais qu’elles sont testées et approuvées par mes précieuses collègues. Parce que les recettes de ChatGPT sont souvent un peu plates.

Je prépare la majorité des repas à l’avance

Dès que j’ai un moment durant le week-end, je cuis des patates douces, du quinoa et je coupe quelques légumes. Parfois, je vais aussi préparer mes marinades pour le tofu et le poulet. J’essaie d’en faire le maximum. Encore une fois, j’utilise ChatGPT pour m’aider à faire la liste des choses que je peux préparer à l’avance. Ainsi, je gagne du temps.

Je n’achète JAMAIS un aliment pour «le fun»

Quand je fais l’épicerie, je m’en tiens au plan. Si je n’ai pas besoin d’un chou-fleur pour une recette, je n’en achète pas. Même s’il est en spécial. En faisant ça, je m’assure de ne pas gaspiller.

 

J’achète ma viande en spécial

Évidemment, je vérifie les circulaires pour profiter au maximum des spéciaux. Je peux donc inclure dans mon menu de semaine certains achats que j’ai faits au préalable ou que j’ai au congélateur.

J’éduque ma famille à la cuisine végétarienne

Mon chum est un éternel carnivore. Introduire un menu à base de tofu et de légumineuses est tout un défi. Heureusement, j’ai trouvé quelques délicieuses recettes qui font l’unanimité et qui plaisent même à ma fille de 4 ans.

Voici quelques recettes végé que j’adore essayer:

• Tofu au beurre
• Sandwichs banh mi au tofu
• Tacos de tofu croustillant
• Spaghetti au tofu
• Tacos au tofu fumé

Et depuis que j’ai changé ma routine, je dois dire que la charge mentale de nourrir ma famille est beaucoup plus douce! Et vous, avez-vous des trucs pour diminuer «l’anxiété du souper»?

Coup de Pouce est l’endroit tout indiqué pour trouver des recettes simples, faciles et délicieuses.

 

FAQ 

1. Comment économiser à l’épicerie sans sacrifier la qualité des repas?

En planifiant tes repas à l’avance, en respectant ta liste d’épicerie, en évitant les achats impulsifs et en profitant des spéciaux sur les protéines.

2. Est-ce que cuisiner végétarien coûte vraiment moins cher?

Oui, souvent! Les légumineuses, le tofu et les œufs sont des sources de protéines économiques. Et avec de bonnes recettes, toute la famille peut y trouver son compte.

3. Est-ce que ça prend beaucoup de temps de tout préparer à l’avance?

Pas nécessairement. En consacrant 1 à 2 heures le week-end à la préparation (cuisson de grains, coupe de légumes, marinades), tu gagnes énormément de temps et de sérénité en semaine.

4. Est-ce que je dois être bonne en cuisine pour faire ça?

Pas du tout. L’idée, c’est de simplifier, pas de compliquer. Des recettes simples, bien planifiées, peuvent faire toute la différence.

5. Est-ce normal de ressentir autant de stress juste pour le souper?

Oui, c’est plus courant qu’on le pense. Entre la charge mentale, le manque de temps, les préférences alimentaires et le budget, le souper devient souvent une source de pression quotidienne.

6. Comment impliquer les enfants dans la planification ou la préparation des repas?

Les enfants peuvent aider à choisir les repas de la semaine, laver les légumes ou même assembler des plats simples. Ça les rend fiers, et ça peut alléger un peu la tâche.

7. Que faire quand je n’ai aucune inspiration pour le souper?

Utiliser des outils comme ChatGPT, consulter des sites de recettes fiables ou garder une liste de «valeurs sûres» à ressortir en cas de panne d’idées peut vraiment aider.

8. Comment éviter de toujours cuisiner les mêmes choses?

En variant les sources d’inspiration (recettes en ligne, livres, suggestions d’amis), en essayant une nouvelle recette par semaine ou en explorant des cuisines du monde.

9. Est-ce que le «meal prep» est vraiment pour tout le monde?

Pas nécessairement. Certaines personnes préfèrent cuisiner chaque jour. L’important, c’est de trouver une méthode qui réduit ton stress, pas d’en ajouter.

10. Comment gérer les imprévus (retards, fatigue, enfants difficiles) sans paniquer?

Prévoir un ou deux repas «dépanneurs» (ex.: soupe congelée, pâtes rapides, restes) peut sauver bien des soirées. Et parfois, un déjeuner pour souper, c’est parfait aussi.