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Colette Provencher nous parle de ses traditions gourmandes du temps des fêtes
Photographe : Julien Faugere
Nous avons eu le plaisir de discuter avec Colette Provencher, animatrice bien connue, qui nous a ouvert son cœur sur ses souvenirs de Noël.
Entre traditions familiales et plats réconfortants, elle nous raconte comment la bouffe occupe une place centrale dans ses célébrations. Découvrez ses anecdotes savoureuses et ses incontournables du temps des fêtes.
[VIDÉO] Colette Provencher répond à notre rafale bouffe du temps des fêtes
Le mot de la faim avec Colette Provencher
On ouvre les cadeaux le soir du 24 ou le matin du 25?
C’est le 24 au soir que ça s’ouvre, les cadeaux!
Fudge ou sucre à la crème?
Hé la la! Les deux sont vraiment trop sucrés, mais un fudge fait avec du chocolat pur, à plus de 78 %, j’aime ça! Ça met le goût du chocolat en valeur, sans le côté trop sucré.
Quel est votre plat réconfort préféré?
Un bon rôti de palette, avec une tonne de légumes et des pommes de terre!
L’ingrédient dont vous ne pouvez pas vous passer?
Je pense que c’est l’ail.
Si on vous invite à un potluck, vous apportez quoi?
Quand j’entends le mot potluck, eh boy! Ça bloque dans ma tête! (rires) Je déteste les potlucks. J'haïs ça pour mourir! Quand on m’invite à un tel événement, honnêtement, je n’ai pas envie d’y aller. Même chose quand on me dit: «On va apporter quelque chose chez vous.» C’est non! Les gens n’arrivent pas en même temps, tout est dépareillé. Quand j’invite du monde, j’aime savoir ce qu’il y aura sur la table. Tout est prêt en même temps. Et puis bingo! On y va!
Quand vous recevez, qu’est-ce que vous cuisinez toujours pour impressionner vos invités?
J’aime cuisiner toutes sortes de choses, mais si je dois choisir un cadeau pour mes invités, j’ai un faible pour le caramel à la fleur de sel ou le beurre de pommes, que je mets dans de jolis petits pots. D'ailleurs, je suis moi-même allée aux pommes cet automne pour cuisiner tout ça.
Avez-vous un souvenir d’enfance lié à la cuisine des fêtes qui vous marque encore aujourd’hui?
On faisait des pâtés à la viande avec ma mère et on mangeait la moitié de la pâte crue avant d’avoir fini la recette! (rires) On léchait aussi les fouets du batteur quand on faisait un gâteau. C’était bon! C’est mon plus beau souvenir d’enfance lié à la bouffe.
