Psychologie
7 sujets à aborder avec ses parents vieillissants
7 sujets à aborder avec ses parents vieillissants Photographe : istockphoto.com
Psychologie
7 sujets à aborder avec ses parents vieillissants
1. Leurs finances
Ont-ils les moyens de payer les frais d’une résidence, s’il y a lieu? Ont-ils suffisamment d’argent pour parer aux imprévus? Peuvent-ils encore s’occuper de leurs finances? Sinon, une personne de confiance peut-elle s’en charger?
2. Leurs besoins
S’empêchent-ils de faire des choses parce qu’ils n’ont pas les ressources nécessaires? Se sentent-ils isolés? Aimeraient-ils sortir davantage? Comment se sentent-ils, vraiment? On pose des questions et, surtout, on écoute.
3. Leur santé
Si on ignore l’évolution d’une maladie ou l’apparition d’un trouble quelconque, on risque de se sentir prise au dépourvu et ne pas savoir comment réagir, par exemple en n’ayant pas prévu de temps à notre horaire ou de ressources externes.
4. Leur avenir
S’ils ne peuvent plus habiter seuls, ont-ils prévu une solution (vendre la maison, aller en logement, magasiner une résidence, cohabiter avec un membre de la famille...)? Mais au-delà de ces considérations, leurs projets et leurs buts à atteindre — s’ils en ont encore — nous en diront long sur leur état d’esprit.
5. Leur réseau
Amis, spécialistes, voisins, organismes, connaissances, famille... Nos parents savent-ils sur qui ils peuvent compter et quels services communautaires leur sont accessibles? On s’en assure.
6. Leur indépendance
Elle est essentielle à leur santé mentale et physique. En tenant compte de leur état de santé, on les encourage à sortir, à voir des amis ou la famille, à conduire s’ils le peuvent encore, à cuisiner, à prendre en charge eux-mêmes leurs rendez-vous, etc. Bref, on évite de faire les choses pour eux sans se demander d’abord si eux-mêmes en seraient capables.
7. La mort
Si ça nous rend mal à l’aise, on aborde le sujet d’un autre point de vue: «Moi, j’ai un peu peur de mourir, parce que...», «Je n’ai pas encore fait de testament, tu crois que je devrais?», «Moi, à ma mort, j’aimerais qu’il se passe telle et telle chose»... Parler de la mort peut libérer d’un grand stress, tant pour nos parents que pour nous.
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