Voici comment mettre la touche finale à notre maquillage en créant de jolis points de lumière.

Le bon choix

L’illuminateur en crème est l’un des plus faciles à appliquer, car il se fond à merveille sur la peau en lui donnant un éclat naturel, un peu comme si elle était illuminée de l’intérieur. On l’utilise seul sur des zones ciblées, mais on peut également le mélanger à notre fond de teint ou à notre crème pour éclairer l’ensemble de notre visage. Notre peau est grasse? On opte pour une formule en poudre, car elle tiendra plus longtemps. Pour trouver la bonne nuance, on choisit une teinte de quelques tons plus clairs que celle de notre peau. On laisse les illuminateurs aux couleurs plutôt surprenantes (lilas, menthe) aux pros. Les produits pailletés, quoique festifs, donnent un rendu très peu naturel.

L’application

On applique l’illuminateur à la toute fin de notre mise en beauté, c’est-à-dire à la suite du fond de teint et de l’anticerne. On le dépose sur les parties saillantes de notre visage: le haut de la pommette, l’arête du nez et le haut de la lèvre supérieure. Pour ouvrir et éveiller le regard, on ajoute une touche d’illuminateur sur le coin interne de l’œil et sur l’arcade sourcilière.

La clé: procéder en touches légères avec une petite quantité de produit.

À chaque texture son outil

Si notre illuminateur est en crème, en bâton ou en liquide, on peut l’appliquer avec les doigts: un pour déposer le produit et un autre pour l’estomper. La chaleur de nos mains facilitera l’exercice et donnera un rendu naturel, surtout lorsqu’on travaille avec une texture crème. Pour appliquer une formule en poudre, on emploie un pinceau à illuminateur assez touffu qui couvrira seulement la zone où l’on souhaite mettre du produit. Un pinceau trop dense risquerait de créer un effet plaqué.

TRUC DE PRO

«Un point de lumière devrait être visible lorsqu’on bouge et que la lumière naturelle nous caresse le visage. Si nos points de lumière se voient quand on est immobile, c’est signe qu’on en a trop mis», explique le maquilleur Jean-François Casselman-Dupont.