Santé

4 mythes sur le décalage horaire

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4 mythes sur le décalage horaire

Rien de plus désagréable que de passer la moitié des vacances sous les effets du décalage horaire. Pour éviter cela, on fait le point sur ces quatre mythes.

Pour être sûre de dormir dans l'avion, on se couche tard la veille du départ.

Faux: Puisque la fatigue intensifie les symptômes du décalage horaire, on se repose le plus possible les derniers jours avant le départ, particulièrement la veille, et on évite l'alcool et le café.

Prendre un somnifère durant le vol évite tous les problèmes du décalage horaire.

Faux: S'il permet de gagner quelques heures de sommeil, le somnifère n'équilibrera pas le rythme circadien. De plus, il est bénéfique de se lever le plus souvent possible pendant le vol pour bouger les jambes et réduire l'enflure résultant des positions assises prolongées.

Tous les voyageurs ne présentent pas les mêmes symptômes et au même moment.

Vrai: La fatigue, l'irritabilité, la déshydratation, l'insomnie et la somnolence durant la journée figurent parmi les symptômes; ils sont variables selon le nombre de fuseaux horaires traversés et différents d'une personne à l'autre. L'adaptation est plus rapide si on voyage vers l'ouest puisqu'il est plus facile d'allonger une journée que de la réduire.

Se coucher en arrivant aide à réduire la fatigue.

Faux: On essaie au maximum de profiter de la lumière du jour afin de s'ajuster plus rapidement à l'heure locale. Si on est très fatiguée, on fait une courte sieste d'environ 30 minutes.

Merci à Linda Forest, infirmière coordonnatrice à la Clinique Santé-Voyage de Montréal. 

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