6-12 ans

Petit guide de la discipline

Petit guide de la discipline

Auteur : Coup de Pouce

6-12 ans

Petit guide de la discipline

«Il ne m’écoute jamais», «Les punitions n’ont aucun effet»… Comme parent, pas facile d’instaurer la discipline. Et si on s’y prenait autrement? Voici des pistes selon l’âge de nos enfants.

On se sent mal de discipliner notre enfant? Pourtant, la discipline est utile dans la mesure où elle transmet des valeurs à notre enfant et lui apprend à bien se comporter par l'intermédiaire d'habitudes de vie et de règles. De plus, elle le rassure, le sécurise et lui enseigne à maîtriser ses pulsions, à penser avant d'agir, à se responsabiliser et à s'entendre avec les autres. «Un enfant à qui on ne met pas de limites et qu'on ne guide pas se sent perdu et confus», dit l'infirmière et psychothérapeute Brigitte Racine, auteure de La Discipline, un jeu d'enfant.

La bonne nouvelle: on peut discipliner notre enfant sans le punir. Pour cela, on doit d'abord lui accorder beaucoup d'attention positive. S'il se sent valorisé et aimé, il acceptera mieux les consignes et les règles, et aura envie de nous faire plaisir. «Les comportements auxquels on donne de l'attention se multiplient», soutient Solène Bourque, psychoéducatrice et enseignante en éducation spécialisée. Donc, on le complimente pour ses bons coups, en ignorant le plus possible les mauvais. Si notre enfant a moins de 12 ans, Brigitte Racine suggère d'instaurer des périodes de jeu exclusives (20 minutes, 3 à 5 fois par semaine). L'enfant décide du jeu et des règles et on se met entièrement à sa disposition. «Quand les besoins affectifs de l'enfant sont comblés, son comportement s'améliore et il collabore davantage», affirme-t-elle.

Quelle est la différence entre une conséquence et une punition?

La punition vise à déplaire, à humilier, à peiner. Elle laisse l'enfant avec le sentiment d'être odieux et ne lui permet pas de tirer des leçons de ses écarts de conduite» explique Brigitte Racine. Supposons que notre fils frappe un ami. Si on l'envoie faire du piquet, on le punit. Il n'y a aucun lien avec l'acte reproché et il n'a pas la chance de s'amender. Bien sûr, la punition enlève parfois l'envie de recommencer, mais c'est uniquement parce que l'enfant veut en éviter une autre, pas parce qu'il a compris. Certains enfants punis à répétition deviennent même insensibles aux punitions et répètent leur comportement répréhensible. Pour obtenir la collaboration de notre enfant, une approche positive de la discipline et des conséquences logiques donnent de meilleurs résultats. Par exemple, si on lui demande de s'excuser et de rendre un service à cet ami, on lui permet de se reprendre. «Réparer sa faute donne l'occasion à l'enfant de se comporter comme une bonne personne et de retrouver son estime de soi. Cela lui apprend aussi les comportements acceptables.»

0-5: frustrations à l'horizon

Entre 2 et 3 ans, l'enfant veut s'affirmer et gagner de l'autonomie. C'est la fameuse période du «Non» et des «Moi capable». Il teste sans cesse nos limites, vérifiant ainsi si on donne suite à nos avertissements. Comme il est encore très centré sur lui-même, il comprend difficilement les répercussions de ses gestes sur les autres ainsi que les consignes qui s'opposent à ses désirs. Il éprouve aussi beaucoup de difficulté à maîtriser ses frustrations, d'où les crises. C'est à partir de 3 ans environ qu'il devient peu à peu moins égocentrique. Il est alors temps de commencer à lui confier de petites tâches et responsabilités afin qu'il développe sa sensibilité sociale. Vers 4 ans, le tout-petit est apte à comprendre les liens de cause à effet.

Une approche positive

  • On établit une routine. «Des heures de repas et de coucher stables incitent l'enfant à coopérer, car il sait à quoi s'attendre, affirme Solène Bourque. Cela évite bien des crises.»
  • On l'aide à comprendre le lien de cause à effet: «Tu as poussé ton ami. Il est tombé et il s'est fait mal. Regarde, il pleure.» Même chose quand il agit bien: «Tu as prêté ta poupée à Megan. Elle sourit, elle est contente!»
  • On donne des préavis. Pour atténuer les frustrations, on avertit l'enfant à l'avance de ce qui s'en vient: «Tu peux jouer encore 5 minutes avec tes camions. Ensuite, c'est le bain.»
  • On propose des choix. «Veux-tu aller au parc dans ta poussette ou en voiturette?» On offre deux ou trois possibilités seulement, sinon, on risque d'y passer la journée. «L'idée, c'est de permettre à l'enfant de satisfaire son besoin d'autonomie et d'affirmation en lui accordant un certain contrôle sur son quotidien», dit Solène Bourque. Bonne tactique quand on anticipe un manque de collaboration: «Choisis un livre que tu regarderas dans l'auto.» On le centre ainsi sur ce qui suscite son intérêt (livre), plutôt que sur ce que l'on veut qu'il fasse (monter dans l'auto sans protester).
  • On guide et on enseigne. Les habiletés sociales ne sont pas innées. Avant de sermonner le tout-petit qui n'attend pas son tour ou qui refuse de partager ses jouets, il faut lui apprendre comment faire. «Je sais que tu veux aller dans la glissoire, mais Maude est avant toi. Elle va glisser et ensuite, ce sera toi. Chacun son tour.»
  • On fait diversion. Simon cogne son jouet à répétition sur la table basse du salon. Mathilde tente d'escalader la bibliothèque. On dit «Non!», puis on dirige l'attention de l'enfant ailleurs: «Viens faire un casse-tête.»
  • On limite les règles. Il faut avoir des attentes réalistes. «Le tout-petit est incapable de suivre une longue série de consignes ni de se souvenir d'une règle après l'avoir entendue une seule fois», dit Solène Bourque. Alors, on restreint les règles à ce qui est vraiment important et on lâche prise sur le reste.
  • On s'assure de capter son attention. Quand on lui demande quelque chose, on se penche vers lui et on le regarde dans les yeux. S'il ne s'exécute pas dans les secondes qui suivent, on va le chercher par la main et on l'amène s'habiller, ranger ses jouets, etc.

 

Quand il faut sévir...

  • La formule du 1-2-3 est efficace avec les tout-petits. On énonce la consigne, puis une conséquence logique («Range tes peluches, sinon, je les confisque»), et on compte jusqu'à trois. S'il n'obéit pas, on applique la conséquence. On évite les conséquences irréalistes, qu'on n'appliquera pas de toute façon («Je jette tous tes jouets!»).
  • On peut aussi retirer l'enfant de la situation problématique: «Comme tu continues de lancer du sable, rentrons à la maison.» Quelques minutes après, on l'aide à réaliser pourquoi on a dû le retirer du groupe ou de l'activité.
  • S'il est en colère ou agité, un temps d'arrêt peut être nécessaire pour l'aider à retrouver son calme (à utiliser après 2 ans). Pour cela, prévoir un endroit confortable, ailleurs que dans sa chambre. Une fois qu'il est calmé, on fait un bref retour sur la situation: «Te sens-tu mieux maintenant? Pourquoi es-tu ici?» Puis, on lui demande de réparer. Par exemple, s'il a frappé sa soeur, il peut lui donner un câlin et lui prêter un de ses jouets.

 

On crie et on est sur le point de perdre le contrôle? On se retire dans une autre pièce (en s'assurant que l'enfant est en sécurité) ou on demande à notre conjoint de prendre la relève. Après, on dit à l'enfant qu'on regrette et que c'est mal de crier. On lui démontre alors que même un adulte peut se tromper et qu'il est inacceptable de crier pour obtenir ce qu'on veut.

6-12: guider et responsabiliser

L'enfant n'est plus uniquement centré sur la satisfaction de ses désirs (ou du moins, il en a la capacité). Comme il a acquis la pensée logique, il peut comprendre le lien entre ses actions et leurs impacts ainsi que la raison d'être des règles de conduite. Ce qui ne veut pas dire qu'il se pliera docilement à tout ce qu'on lui demande! La discipline, à cet âge, consiste souvent à lui faire accomplir ce qu'il doit faire: tâches, devoirs, soins personnels, etc. L'enfant a encore beaucoup besoin de nous pour développer sa responsabilisation. Vers 9-10 ans, la pensée critique commence à se développer. Notre préado se met à remettre en question nos règles. Il veut aussi acquérir davantage d'indépendance. La discipline implique alors un peu plus de discussion et de négociation.

Une approche positive

  • On donne l'exemple. Il devient encore plus crucial de porter attention à notre comportement. Comment exiger que notre enfant soit poli avec son enseignante si on la critique de façon irrespectueuse devant lui?
  • On explique. L'enfant doit comprendre pourquoi on a telle ou telle exigence. Aussi, on le sensibilise aux conséquences de ses gestes et de ses paroles: «Quand tu as traité ton ami d'imbécile, comment s'est-il senti, d'après toi?»
  • On l'amène à collaborer. On lui demande son avis.: «As-tu des idées pour étudier tes leçons sans que j'aie à te le répéter?»
  • On change les «non!» pour des «oui, mais...». «Le "non" augmente le sentiment d'impuissance du jeune ainsi que son envie de défier et de s'opposer», soutient Brigitte Racine. Elle suggère de le troquer le plus souvent possible pour un «oui» stratégique. Notre enfant veut jouer avec son jeu vidéo? Au lieu de refuser parce qu'il n'a pas terminé ses devoirs, on lui dit: «Oui, mais... quand tu auras terminé tes devoirs.»
  • On exprime nos attentes. L'expression «Je m'attends à ce que...» envoie un message de confiance à l'enfant. «Quand on lui dit qu'on s'attend à ce qu'il suspende son manteau au retour de l'école, c'est qu'on croit qu'il en est capable, explique Brigitte Racine. Et puisqu'on s'y attend, il n'a pas vraiment le choix, il doit le faire.» Aussi, on évite de faire nos demandes sous la forme d'une question ou d'un traitement de faveur («Pourrais-tu...» «Ça me ferait plaisir si...»).
  • On agit. «Mathieu, ferme la télé, c'est le temps de venir te coucher... Combien de fois je vais devoir te le dire?... Mathieu, c'est la dernière fois que je te le dis!» Pendant qu'on répète, Mathieu continue de regarder la télévision. Les répétitions encouragent l'enfant à ne pas écouter, selon Brigitte Racine. Et les menaces («Si tu ne viens pas te coucher, tu ne pourras plus regarder la télé pendant un mois.») sont tout aussi inutiles, car il sait qu'on ne les mettra pas à exécution. La solution: agir. «À partir de maintenant, je te dirai une seule fois de venir te coucher. Si tu dépasses ton heure de coucher, tu reprendras les minutes perdues en allant au lit plus tôt le lendemain.» Et on fait ce qu'on dit!

 

Quand il faut sévir...

  • On applique la conséquence annoncée, sinon, l'enfant continuera de faire fi de nos demandes. Il résistera au début, c'est normal, mais il faut ignorer ses protestations et persévérer.
  • On privilégie les conséquences logiques ou la réparation. Si notre fille est en retard pour l'école parce qu'elle a eu de la difficulté à sortir du lit, on l'envoie dormir plus tôt ce soir-là. C'est plus logique que de la priver de télévision!
  • S'il refuse de réparer, on passe au retrait de privilège ou d'objet: confisquer son baladeur numérique ou son vélo pendant une journée, interdire l'accès à l'ordinateur ou aux jeux vidéo, le priver d'une sortie, etc.

 

Peut-on faire une entorse aux règles?

On peut suspendre temporairement une règle lors d'une occasion spéciale. On dira alors - et on répétera - qu'il s'agit d'une exception: «Je n'ai pas le temps de te demander tes mots de vocabulaire ce soir parce que tu as rendez-vous chez le dentiste, mais demain et les autres jours, on reprend la routine.»

13 +: les grands débats

Notre jeune veut de plus en plus de pouvoir sur sa vie: décider de ses sorties, de son heure de coucher, de ses loisirs, de ses amis, etc. Or, la région de son cerveau qui permet de dominer les impulsions et de faire preuve de jugement est encore en développement. Cela peut l'amener à vivre des expériences risquées et à mal évaluer les conséquences de ses actes. Il a donc besoin de nous pour l'encadrer et le guider. L'adolescence se caractérise aussi par la recherche d'identité et l'affirmation de soi. Les goûts de notre jeune se précisent. Il s'interroge sur l'amour, l'amitié, l'environnement, la justice. Il forge ses opinions. Cela l'amène à confronter nos valeurs et à chercher à se dissocier de nous. Ce processus, normal et sain, doit être encouragé, tant qu'il se manifeste dans le respect.

Une approche positive

  • On soigne la relation. On continue à lui proposer de faire des activités ensemble, à s'intéresser à ce qu'il fait, à discuter. «L'ado ne veut pas nécessairement parler de lui, mais il adore parler de sujets de société», dit Lorraine Gagnon, qui a conçu la formation Parent d'ado... une traversée, offerte par plusieurs organismes et CLSC.
  • On choisit nos batailles. Sa chambre est en désordre? On n'aime pas ses cheveux longs? Il s'agit là de ses zones de liberté, tout comme ses goûts vestimentaires, la décoration de sa chambre, son choix de carrière, ses loisirs et même le choix de ses amis. On peut exprimer notre opinion, mais pas la lui imposer. Par ailleurs, on évite le contrôle excessif. «Il n'est pas nécessaire de tout savoir sur ce que fait et pense notre jeune, rappelle Lorraine Gagnon. Il a droit à son jardin secret.»
  • On se montre ouverte. On écoute ses arguments et on s'entend sur des compromis, si c'est pertinent, par exemple faire passer son couvre-feu de 23 h 30 à minuit. On tient compte de son sens des responsabilités et on se réserve le droit de trancher. Il est bon de le faire participer au choix de la conséquence s'il enfreint la règle. Si elle est trop légère, on ajuste.
  • On le responsabilise. Elle souhaite passer le week-end chez une amie? On lui demande ce qu'elle a prévu pour ses travaux scolaires. Il échoue un examen? Comment compte-t-il redresser la situation?
  • On établit nos limites. Certaines règles sont non négociables, le respect par exemple. «Si plusieurs parents ont tant de difficulté à imposer le respect, c'est qu'ils laissent passer des attitudes irrespectueuses ou protestent trop mollement, soutient Lorraine Gagnon. Leur jeune ne les prend pas au sérieux.» Ce qu'il faut: lui signifier clairement qu'à partir d'aujourd'hui on n'acceptera plus le manque de respect (ou tel comportement) et qu'il y aura une conséquence. Puis, à chaque manquement, on lui dit qu'il nous manque de respect et on cesse la discussion sur-le-champ. «Beaucoup de parents constatent une nette amélioration quand ils se positionnent fermement», souligne Lorraine Gagnon.

 

Quand il faut sévir...

  • On exige réparation. Demander simplement à notre jeune de nous parler avec respect ou d'arrêter d'insulter son frère ne donne rien. Et les excuses sont insuffisantes. Une fois qu'il est plus calme, on exige qu'il exprime avec des mots polis et respectueux le message qu'il voulait nous faire passer la première fois. S'il a traité son frère de noms, on lui demande d'énumérer trois de ses qualités et de les appuyer avec des exemples («Il est généreux parce que...»). «C'est plus demandant que de simples excuses», constate Brigitte Racine. Attention: il faudra intervenir plusieurs fois avant que les manques de respect cessent.
  • On choisit des conséquences logiques. Il fait un party à la maison et quelques objets sont brisés? Il doit nous les rembourser. Il dépasse le temps qui lui est alloué pour les jeux vidéo? On le prive de jouer la journée suivante. «On confisque les manettes s'il le faut», lance Lorraine Gagnon. Il tentera de nous en dissuader et sera fâché contre nous. Évidemment... il joue son rôle d'ado! Notre rôle à nous, parents, c'est de tenir notre bout. S'il n'apprend pas sans conséquences, c'est qu'il en a encore besoin. «On évite de vouloir à tout prix être son amie, insiste Lorraine Gagnon. Des amis, il peut en avoir plusieurs, pas des parents.»

 

Que faire si l'ado refuse de réparer?

On garde le cap sur notre volonté de faire cesser le comportement répréhensible et on passe à un plan B. Par exemple, s'il continue à nous manquer de respect, on cesse de lui rendre service (faire son lavage, le véhiculer, lui prêter l'auto, etc.) et on lui explique pourquoi. Le retrait de privilège ou d'objet est aussi à envisager.

Les 6 C des règles

Pour être efficaces, elles doivent être...

claires, c'est-à-dire formulées dans un langage adapté à l'âge de l'enfant et véhiculant des valeurs éducatives (ex.: respect, ordre, travail bien fait).

concrètes: elles expriment directement le comportement souhaité pour que l'enfant comprenne ce qu'on attend de lui. Ex.: dire «Marche» au lieu de «Ne cours pas», dire «Tu dois être revenu à 23 h» au lieu de «Ne rentre pas trop tard».

constantes: appliquées systématiquement et non au gré de nos humeurs. La constance est plus efficace que la sévérité. Si l'enfant doit assumer une conséquence à chaque désobéissance, il sera plus enclin à respecter la règle que si on lui impose une grosse punition à l'occasion.

cohérentes: en lien avec nos propres attitudes. Autrement dit, on prêche par l'exemple.

conséquentes: la conséquence d'un écart de conduite est logique (reliée au comportement fautif) ou prend la forme d'un geste de réparation.

connues: «L'enfant doit connaître à l'avance la conséquence qu'il devra assumer, car cela lui permet de faire un choix, précise Lorraine Gagnon, directrice d'Entraide-Parents, un organisme de Québec qui soutient les parents dans leur rôle éducatif. S'il refuse de faire ses devoirs, par exemple, il choisit de se priver de télévision, de jeux à l'extérieur ou de toute activité ludique.»

Pour aller plus loin

Livres:

La Discipline, un jeu d'enfant, par Brigitte Racine, Éditions du CHU Sainte-Justine, 2008, 136 p., 14,95$.
Responsabiliser son enfant, par Germain et Martin Duclos, Éditions du CHU Sainte-Justine, 2005, 198 p., 14,95$.
La Discipline, du réactionnel au relationnel, par Joe-Ann Benoît, Quebecor, 2008, 258 p., 29,95$.
Cet enfant qui n'écoute jamais, par Jean-Luc Aubert, Albin Michel, 2006, 160 p., 21,95$.
Être parent, mode d'emploi, par Jean-Pierre Gagné et Hélène Renaud, Quebecor, 2009, 200 p., 24,95$.
Savoir dire non aux enfants, par Robert Langis, Quebecor, 2010, 160 p., 19,95$.
Ados: mode d'emploi, par Michel Delagrave, Éditions du CHU Sainte-Justine, 2005, 175 p., 14,95$.

Conférences et formations:

• Plusieurs organismes familiaux proposent des formations sur la discipline et l'éducation. Pour trouver un organisme dans notre région, consulter le site de la Fédération québécoise des organismes communautaires Famille. Des formations sont aussi données dans certains CLSC.
• Les Soirées parents du CHU Sainte-Justine, en tournée au Québec, infos: chu-sainte-justine.org.
• Formation Parent-guide, Parent-complice, 20 heures au coût de 145$, offerte dans plusieurs villes, infos: commeunique.com.
• Brigitte Racine, auteure de La Discipline, un jeu d'enfant, donne des formations et des conférences d'une durée de 90 minutes à 6 heures dans les écoles. Sur demande, coût variable. Infos: educoeur.ca, 514-392-4755.

Sur Internet:

www.excellence-jeunesenfants.ca
www.naitreetgrandir.net
www.yoopa.ca
www.mamanpourlavie.com

Soutien téléphonique:

• Ligne Parents, 1-800-361-5085.
• Éducation-Coup-de-fil, 514-525-2573, 1-866-329-4223.

 

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