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Des approches alternatives à 6 maux courants

Des approches alternatives à 6 maux courants

istockphoto.com Photographe : istockphoto.com Auteur : Coup de Pouce

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Des approches alternatives à 6 maux courants

La médecine traditionnelle n’arrive pas à nous soulager? On souhaite se traiter de façon plus naturelle? Voici 6 approches alternatives dont l’efficacité est prouvée pour soigner certains problèmes de santé.

1. Les nausées

Traitement conventionnel: On a recours à divers médicaments, selon la gravité des nausées et leur cause (on parle principalement des nausées de grossesse, de celles associées à la chimiothérapie et de celles subséquentes à une opération). Les médecins fournissent également une liste de recommandations préventives, comme d'éviter les repas copieux et les aliments difficiles à digérer.

On peut essayer... l'acupuncture

L'acupuncture est une des cinq composantes de la médecine traditionnelle chinoise. L'insertion d'aiguilles à la surface de la peau aiderait à réguler le Qi (prononcé chi), une sorte d'énergie qui circulerait dans le corps, soulageant ainsi différents problèmes. L'acupuncture a fait l'objet d'une multitude d'études scientifiques au fil des ans. En 1997, par exemple, les prestigieux National Institutes of Health des États-Unis ont émis un avis dans lequel ils reconnaissent que l'acupuncture est «efficace pour soulager chez l'adulte les nausées et les vomissements postopératoires ou liés à la chimiothérapie». De même, une étude publiée en 2004 en Croatie démontrait que l'acupuncture soulage efficacement les nausées associées à la grossesse.

«Il y a une complémentarité entre l'acupuncture et les médicaments contre les nausées de grossesse, explique l'acupunctrice Pascale Tremblay, membre du conseil d'administration de l'Ordre des acupuncteurs du Québec. Seules, l'acupuncture ou la médication pourront ne pas être suffisantes pour soulager la patiente. Il y a aussi des femmes qui consultent en acupuncture parce qu'elles veulent prendre le moins de médicaments possible pendant leur grossesse.»

Pascale Tremblay précise que le traitement ne sera pas le même pour la nausée de grossesse que pour celle découlant de la chimiothérapie. Dans le premier cas, dit-elle en prévenant qu'elle «sur-vulgarise» le tout, on peut évoquer un surplus d'énergie qu'il faut réguler pour qu'elle circule correctement. Dans le second, l'énergie fait plutôt défaut et le traitement visera à relancer la circulation de celle encore présente dans l'organisme.

Chez les femmes enceintes, un soulagement pourra être obtenu après seulement un ou deux traitements. Dans le cas d'une chimiothérapie, l'intervention de l'acupuncteur se poursuivra pendant toute sa durée. Un traitement en acupuncture pourra aussi être pertinent avant et après chaque séance de chimio.

L'acupuncture produit très peu ou pas d'effets secondaires. Par contre, l'acupuncteur doit prendre certaines précautions lorsqu'il traite une femme enceinte, car certains points d'acupuncture peuvent déclencher des contractions. «Il faut adapter notre traitement, explique Pascale Tremblay. Celui pour les nausées ne comporte aucun danger de fausse-couche.» Si tous les acupuncteurs sont formés pour traiter les femmes enceintes, certains choisissent de ne pas le faire; d'autres, au contraire, en font leur principale clientèle.

Mise en garde: On entame un traitement complémentaire avec autant de précaution qu'un traitement traditionnel. On n'entreprend pas un traitement sans l'avis de notre médecin (pas question de le lui cacher) et on évite d'abandonner tous nos traitements traditionnels au profit de thérapies alternatives; d'ailleurs, ces dernières se disent aussi souvent «complémentaires».

 

2. Les maux de dos

Traitement conventionnel: Des relaxants musculaires et des antidouleurs peuvent être utiles. Dans certains cas (hernie discale ou scoliose), une chirurgie peut être nécessaire. Afin de prévenir d'autres épisodes, notre médecin ou physiothérapeute peut recommander des exercices pour renforcer les muscles du tronc.

On peut essayer... l'ostéopathie

Les ostéopathes palpent et manipulent le corps à la recherche de tensions ou de déséquilibres, leur objectif étant de rétablir l'harmonie entre les différents systèmes de l'organisme. Les preuves scientifiques démontrant l'efficacité de l'ostéopathie dans le soulagement des maux de dos sont solides. Une étude réalisée par des chercheurs du Centre des sciences de la santé de l'université North Texas publiée en 2005 a déterminé que l'ostéopathie soulage plus efficacement les maux de dos, plus précisément la lombalgie, qu'un traitement placebo.

«En ostéopathie, on traite tout ce qui n'est pas cassé mais qui ne fonctionne pas bien, résume l'ostéopathe France Lamoureux, de la clinique de médecine du sport du Centre Claude-Robillard. Pour ce faire, nous allons vraiment chercher la cause du problème. Par exemple, un mal de dos pourra être causé par une vieille entorse à la cheville. En faisant l'historique, on réalise que cette entorse, subie quatre ans plus tôt, s'est transformée en mal de genou il y a deux ans, puis en mal de dos aujourd'hui. Mais ça peut aussi partir d'un blocage au niveau de la tête. Il y a 150 000 causes possibles aux maux de dos.»

L'ostéopathe pratique ce qu'on appelle la «médecine manuelle» parce qu'il utilise ses mains, sans instruments. Il peut avoir recours à des techniques d'étirement musculaire, de mobilisation articulaire et à d'autres plus douces. Une amélioration pourra être constatée après quatre ou cinq traitements; autrement, on pourra devoir réévaluer la situation.

France Lamoureux précise par ailleurs qu'il n'y a aucun mal à consulter un ostéopathe dès l'apparition de la douleur, puisqu'un praticien compétent déterminera rapidement s'il est en mesure d'aider le patient ou si celui-ci aurait avantage à consulter un autre spécialiste. La prise d'analgésiques pendant un traitement ostéopathique, pour autant qu'ils n'interfèrent pas avec l'évaluation de l'efficacité de la thérapie, est correcte. Les effets secondaires sont plutôt rares, mais de légères courbatures ou douleurs pourront être présentes après le traitement.

Enfin, l'ostéopathie n'étant pas une profession réglementée au Québec, Mme Lamoureux recommande de faire affaire uniquement avec un professionnel inscrit auprès du Registre des ostéopathes du Québec.

Mise en garde: On entame un traitement complémentaire avec autant de précaution qu'un traitement traditionnel. On n'entreprend pas un traitement sans l'avis de notre médecin (pas question de le lui cacher) et on évite d'abandonner tous nos traitements traditionnels au profit de thérapies alternatives; d'ailleurs, ces dernières se disent aussi souvent «complémentaires».

 

3. La douleur

Traitement conventionnel: Le traitement dépend du type de douleur et de son origine. Les trois catégories de médicaments auxquels on a le plus recours sont les opiacés comme la morphine, les non-opiacés comme les anti-inflammatoires et les analgésiques comme l'acétaminophène. La médecine a aussi réalisé d'énormes progrès depuis 10 ou 20 ans dans le traitement de la douleur chronique, notamment en réalisant qu'il s'agit d'une maladie bien réelle et non seulement d'un symptôme d'autre chose. Cela étant dit, la prise de médicaments contre la douleur s'accompagne souvent d'effets secondaires indésirables.

On peut essayer... l'acupuncture

Quelques études sérieuses permettent de croire à l'effet de l'acupuncture dans la diminution de la douleur. Entre autres, une méta-analyse, réalisée en 2008 par des chercheurs de l'université américaine Duke, de 15 études sur l'efficacité de l'acupuncture concluait que cette thérapie réduit efficacement la douleur postopératoire, en plus d'être accompagnée de moins d'effets secondaires que ceux associés aux analgésiques.

Le traitement et les résultats attendus dépendent bien sûr de la cause de la douleur et de son intensité. «Plus la douleur est récente, plus elle sera facile à traiter», dit Pascale Tremblay. Les maladies dégénératives seront plus difficiles à traiter, ajoute-t-elle, tandis que les problèmes ayant une composante mécanique (comme les hernies ou les déchirures) pourront nécessiter l'intervention d'un autre professionnel. «Les douleurs associées à la migraine ou au cycle menstruel répondent très bien à l'acupuncture, précise-t-elle, comme celles des tendinites, des bursites et autres.»

Une fois la cause de la douleur identifiée, l'acupuncteur s'affairera à traiter les points d'acupuncture appropriés. Certains auront ainsi des effets anti-inflammatoires ou pourront aider à améliorer la circulation locale du sang.

Dans le cas d'une douleur aiguë, l'acupunctrice Catherine Bélanger estime que le patient pourra ressentir une nette amélioration de son état après seulement quatre ou cinq traitements. Dans le cas d'une douleur installée depuis plus longtemps, une réduction de la sensation de 10% ou 15% pourra être remarquée au bout de deux ou trois rencontres. «L'acupuncture fonctionne plus lentement (que les médicaments)», dit Mme Bélanger. Par contre, elle a l'avantage d'éviter certains des effets secondaires déplaisants qui accompagnent parfois les antidouleurs, comme les dommages à l'estomac ou une hausse de la tension artérielle.

Mise en garde: On entame un traitement complémentaire avec autant de précaution qu'un traitement traditionnel. On n'entreprend pas un traitement sans l'avis de notre médecin (pas question de le lui cacher) et on évite d'abandonner tous nos traitements traditionnels au profit de thérapies alternatives; d'ailleurs, ces dernières se disent aussi souvent «complémentaires».

 

4. L'hypertension artérielle

Traitement conventionnel: Plusieurs médicaments antihypertenseurs ont fait leurs preuves. Il en existe plusieurs classes, chacune ayant des effets différents selon la condition du patient. Les effets secondaires varieront d'une classe à l'autre et pourront inclure des maux de tête, une faiblesse musculaire, la diarrhée, la fatigue et des problèmes d'ordre sexuel. Le traitement de l'hypertension comprendra habituellement une modification des habitudes de vie, comme la perte de poids, l'abandon du tabagisme, une réduction de la consommation de sel et une augmentation de l'activité physique.

On peut essayer... le biofeedback

Le biofeedback s'intéresse à l'interaction entre le corps et l'esprit. Les praticiens étudient comment les émotions et les pensées peuvent influencer le fonctionnement de l'organisme; à l'aide de différentes techniques, le patient pourra apprendre à contrôler certaines fonctions de son corps, comme le rythme cardiaque.

Une méta-analyse publiée en 2008 par des chercheurs de l'université de Marbourg, en Allemagne, concluait à l'efficacité du biofeedback pour soulager les maux de tête de tension. De même, en 2003, des scientifiques japonais de la faculté de médecine de l'université de Teikyo publiaient dans la revue Hypertension Research une méta-analyse démontrant l'efficacité de cette technique pour soulager l'hypertension.

«Vous seriez surpris du nombre de gens qui viennent me voir et qui découvrent que des pensées négatives font augmenter leur pression artérielle», lance le directeur de l'Institut PsychoNeuro, le psychologue Vincent Paquette.

Dans le cas du traitement de l'hypertension, par exemple, un capteur installé sur le bout du doigt permet au patient de découvrir, à l'écran, les fluctuations de son rythme cardiaque et l'impact qu'a sa respiration sur celui-ci. Le patient se crée donc une image bien réelle du lien qui existe entre son corps et son esprit. Il lui suffit ensuite de fermer les yeux pour visualiser ce lien. L'objectif: apprendre à calmer son esprit et à ralentir consciemment sa respiration pour faire baisser son rythme cardiaque et, par le fait même, sa tension artérielle. «Ça nous donne une emprise sur nous-même et sur notre santé, dit Vincent Paquette. On peut changer nos habitudes de vie avec des exercices d'autocontrôle.»

Aucun effet secondaire n'est associé au biofeedback lorsqu'il est effectué par un professionnel. Par contre, prévient M. Paquette, «l'apprentissage de la respiration abdominale et de la cohérence cardiaque peut induire de l'hyperventilation, des étourdissements, voire des engourdissements pour quelques secondes. Cela est dû à une mauvaise façon de respirer: la personne inspire trop d'air, donc hyperventile.»

L'efficacité des traitements est difficile à mesurer en ce qui concerne l'hypertension, puisque cette dernière peut connaître des fluctuations importantes au cours d'une journée. «La différence avec le biofeedback, c'est que les gens apprennent une technique pour la diminuer au lieu de dépendre d'une source extérieure, à savoir la médication», explique Vincent Paquette.

Mise en garde: On entame un traitement complémentaire avec autant de précaution qu'un traitement traditionnel. On n'entreprend pas un traitement sans l'avis de notre médecin (pas question de le lui cacher) et on évite d'abandonner tous nos traitements traditionnels au profit de thérapies alternatives; d'ailleurs, ces dernières se disent aussi souvent «complémentaires».

 

5. Les maux de tête

Traitement conventionnel: La médecine traditionnelle utilisera des antidouleurs comme l'acétaminophène ou des opiacés. Il existe aussi toute une panoplie de médicaments spécialisés pour le soulagement de la migraine.

On peut essayer... la chiropratique

La chiropratique consiste en des manipulations qui visent l'ajustement des vertèbres cervicales, dorsales et lombaires. Elle est surtout utilisée pour régler les problèmes neuromusculosquelettiques. Une étude scientifique publiée en 2004 par des chercheurs du Centre des sciences de la santé de l'université américaine Northwestern et une autre publiée en 2005 par des chercheurs espagnols ont démontré que la chiropratique offre un soulagement efficace des maux de tête.

«Je dirais que jusqu'à 90% des maux de tête sont des céphalées de tension ou qui prennent naissance dans nos vertèbres», dit le chiropraticien Jean-François Henry, premier vice-président de l'Ordre des chiropraticiens du Québec. Des facteurs comme le stress ou la posture peuvent nuire à la mobilité et provoquer des céphalées de tension, explique-t-il. Si une vertèbre bouge moins bien, ajoute-t-il, cela pourra provoquer une tension sur un muscle qui, à son tour, causera une tension sur le crâne. «C'est une réaction en chaîne et il faut redonner sa mobilité à la vertèbre.» Selon lui, le traitement chiropratique pourra, dans une grande majorité des cas, résoudre le problème de façon définitive ou à tout le moins diminuer la fréquence et l'intensité des maux de tête.

Toutefois, les avis sur le traitement de la migraine sont partagés. Trois études cliniques réalisées depuis 1980 ont conclu que la chiropratique est comparable aux médicaments pour réduire les douleurs de la migraine à court terme, soit sur huit semaines. À plus long terme, aucune différence importante n'a été constatée entre la chiropratique et un traitement placebo.

Le traitement débutera par une analyse des antécédents de santé du patient et par un examen radiologique qui vérifiera si celui-ci présente des contre-indications aux ajustements cervicaux ou vertébraux qui devront être effectués (par exemple, une fracture ou certaines conditions neurovasculaires). «L'examen va nous permettre de repérer les restrictions de mouvement et de liberté, précise Jean-François Henry. Les manipulations visent à redonner du mouvement là où il y en a moins ou plus du tout.»

Si nécessaire, le chiropraticien complétera son traitement avec des conseils visant à modifier des habitudes de vie (par exemple, cesser de dormir sur le ventre ou revoir l'ergonomie de notre poste de travail). Les effets secondaires possibles les plus fréquents à la suite d'un traitement chiropratique sont des courbatures musculaires, des raideurs ou une aggravation temporaire des symptômes.

Mise en garde: On entame un traitement complémentaire avec autant de précaution qu'un traitement traditionnel. On n'entreprend pas un traitement sans l'avis de notre médecin (pas question de le lui cacher) et on évite d'abandonner tous nos traitements traditionnels au profit de thérapies alternatives; d'ailleurs, ces dernières se disent aussi souvent «complémentaires».

 

6. L'insomnie

Traitement conventionnel: Il existe des dizaines de somnifères sur le marché. Des médicaments sur ordonnance pourront aussi être utilisés en combinaison pour encore plus d'efficacité. Il faut toutefois se méfier des effets secondaires de certains d'entre eux, comme l'accoutumance, la somnolence diurne et la perte d'appétit.

On peut essayer... le biofeedback

«Les gens qui viennent nous voir nous disent que leur cerveau tourne à 100 km/h quand ils vont au lit et qu'ils n'arrivent pas à s'endormir, dit Vincent Paquette. Avec le biofeedback, il est possible de ralentir le rythme cérébral sans avoir recours à la médication.»

Le tout commence par une nouvelle prise de contrôle sur le rythme respiratoire, ce qui provoquera un effet domino bénéfique: une respiration plus lente réduira le rythme cardiaque, le sang circulera moins rapidement dans l'organisme et l'activité des neurones ralentira. «Les gens qui souffrent d'insomnie ont une respiration plus thoracique qu'abdominale, explique-t-il. C'est une biomécanique qu'il faut apprendre.

«Quand notre cerveau travaille fort à réfléchir, à planifier, à ruminer, à s'inquiéter ou à gérer des émotions fortes, le rythme cérébral s'accélère. Par conséquent, nous avons besoin de lui fournir plus rapidement de l'oxygène et de l'énergie, ce qui provoque une augmentation du rythme respiratoire et cardiaque et de la tension artérielle qui peut empêcher la somnolence de s'installer», explique Vincent Paquette. Même si la personne souhaite dormir, dans certains cas, le rythme cérébral ne veut tout simplement pas ralentir. Autrement dit, la respiration thoracique ne cause pas de l'insomnie proprement dit, mais elle contribue à maintenir un rythme physiologique accéléré qui retarde l'endormissement ou provoque des réveils fréquents (car le sommeil est plus léger). Si on arrive à respirer plus lentement et profondément, à partir de l'abdomen, c'est tout le rythme du corps qui ralentira et aidera le rythme cérébral à aussi ralentir son rythme. On pourra ainsi entrer dans une phase de relaxation avec plus de facilité ou s'endormir plus rapidement.»

Des capteurs installés sur l'abdomen permettent au patient de visualiser sa respiration à l'écran, une image qui pourra lui montrer qu'il ne respire pas adéquatement, ajoute Vincent Paquette. Ensuite, dix ou quinze minutes de pratique par jour pourront suffire à corriger ces vilaines habitudes et à permettre au cerveau de trouver le sommeil.

«Le biofeedback est surtout efficace pour ceux qui ont de la difficulté à s'endormir (insomnie initiale) ou qui se réveillent souvent durant la nuit (insomnie de maintien). Le but est de ralentir le rythme lorsque le cerveau refuse de le faire: par hyperactivité mentale, par angoisse, ou à cause de préoccupations ou de ruminations», ajoute Vincent Paquette.

Comme dans le cas de l'hypertension, le seul effet secondaire possible sera une légère hyperventilation passagère lors de l'apprentissage des nouvelles techniques de respiration.

Mise en garde: On entame un traitement complémentaire avec autant de précaution qu'un traitement traditionnel. On n'entreprend pas un traitement sans l'avis de notre médecin (pas question de le lui cacher) et on évite d'abandonner tous nos traitements traditionnels au profit de thérapies alternatives; d'ailleurs, ces dernières se disent aussi souvent «complémentaires».


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